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PSG – Atletico : mauvaise foi, frustration… Simeone a fait son show !

Après la rencontre entre le PSG et l’Atlético de Madrid dimanche soir, Diego Simeone a ciblé l’arbitrage, mais aussi les finances parisiennes.

Le PSG contre l'Atlético de Madrid (PSG.FR)
Le PSG contre l'Atlético de Madrid (PSG.FR)
Par
Guillaume L.
Responsable
Fou du PSG, je passe mes journées à taper l'actualité du club ! Alors ce n'est pas dans un ballon, mais je tente toujours de viser...

Sur les terres américaines, le PSG a parfaitement lancé sa Coupe du Monde des Clubs avec une large victoire face à l’Atlético de Madrid. Nettement dominateurs, les hommes de Luis Enrique ont donné aucune chance aux Espagnols, dépassés devant les supériorités de leur adversaire.

Diego Simeone, l’entraineur du club madrilène, a été interrogé après la rencontre. Il a d’abord montré son ras-le-bol concernant l’arbitrage, estimant que son équipe n’avait pas été avantagée. « Après 14 ans, j’en ai assez de parler des arbitres. Ça suffit, j’en ai marre. J’en ai assez de parler de sujets répétitifs. Sinon, on a toujours l’air d’être des victimes et je ne me sens victime de rien. On a joué contre un adversaire formidable, meilleur que nous. Mais les détails sont évidents » a-t-il déclaré dans des propos reportés par Le Parisien.

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Diego Simeone vise les finances du PSG

Bien qu’il avoue sans problème la puissance collective du PSG, il pense savoir que cela est principalement dû à l’investissement massif réalisé ces dernières années, notamment l’hiver dernier avec l’arrivée de Khvicha Kvaratskhelia. « Ce n’est pas qu’ils n’ont pas essayé, le PSG était meilleur, supérieur, il nous a pris le ballon, ne nous a pas laissé échapper la pression. Le PSG est une grande équipe de jeunes joueurs. Quand Luis Enrique avait besoin d’un joueur sur l’aile gauche, ils ont sorti 70M€ pour recruter quelqu’un en janvier (Khvicha Kvaratskhelia). Ensuite, il faut les faire jouer, et c’est une équipe qui a toujours fait ça. »

Pourtant, contrairement aux précédentes saisons, le PSG a préféré miser sur des jeunes talents. L’équipe type faisait beaucoup moins rêver en début de saison, mais le travail XXL réalisé par Luis Enrique a permis à Paris de remporter sa première Ligue des Champions.

Peut-être que l’entraineur argentin devra faire la même chose pour enfin remporter ce trophée majeur, avec l’aide d’un Julian Alvarez qui coute plus cher que l’attaquant géorgien.